• Devenir ninja

    Ici nous allons apprendre ensemble comment devenir ninja

  •                       Le code ninja (à connaitre par coeur)

     

    Règle n°1 : Un ninja doit obéir aux règles
    Règle n°2 : Un ninja doit obéissance à son kage
    Règle n°3 : Un ninja ne doit pas trahir son village sous peine d’être gravement puni
    Règle n°4 : Tout ninja quittant son village sans raison ou autorisation est bannit et devient déserteur
    Règle n°5 : Un ninja doit toujours chercher la connaissance
    Règle n°6 : Un ninja doit défendre son village jusqu’à la mort
    Règle n°7 : Un ninja doit obéir aux ninjas plus élevé que lui sur l’échelle hiérarchique des ninjas
    Règle n°8 : Un ninja doit effectuer la mission qui lui à été confié sans posé de question
    Règle n°9 : Un ninja ne doit ni tuer, ni blesser, ni attaquer une personne si ce n’est pas un ordre ou pour défendre sa vie ou la vie d’un autre
    Règle n°10 : Un ninja ne doit en aucun cas divulguer des informations secrète au village a une personne étrangère au village
    Règle n°11 : Un ninja ne peut se prétendre au-dessus des lois
    Règle n°12 : Un ninja ne peut se prétendre à ce titre qu’a partir du rang de Génin
    Règle n°13 : Un ninja qui possède des dons héréditaires doit le signaler lorsqu’il se manifeste.
    Règle n°14 : Un ninja doit travailler dans l’ombre
    Règle n°15 : Un ninja doit toujours porter le bandeau frontal de son village
    Règle n°16 : Un ninja doit respect à toute personne qu’il rencontre
    Règle n°17 : Un ninja doit faire abstraction de sa personne et ne pas vivre pour lui-même, il ne vit qu’en tant qu’instrument pour son village
    Règle n°18 : Un ninja doit posséder une bonne santé mental et physique
    Règle n°19 : Tout les ninjas sont frères et égaux
    Règle n°20 : Un ninja ne doit pas pratiquer les techniques interdites par son village
    Règle n°21 : Un ninja doit respecter les engagement qu’il a fait à une personne
    Règle n°22 : Un ninja ne doit divulguer aucune technique secrète à son village
    Règle n°23 : Un ninja ne doit pas agir pour lui-même
    Règle n°24 : Le ninja ne doit avoir qu’un confiance aveugle qu’envers son kage
    Règle n°25 : Le ninja ne doit souffrir d’aucun handicap
    Règle n°26 : En quelque situation que ce soit, un ninja ne doit jamais transparaître ses émotions, l’accomplissement de la mission passe avant tout, le ninja n’a pas le droit de verser des larmes
    Règle n°27 : Un ninja ne doit partir en mission que quand tout les avantages possibles sont de son coté
    Règle n°28 : Un ninja doit laisser travailler les ANBU qu’ils soient de son village ou pas sans aucune intervention quelque soit la situation


    6 commentaires
  •                     Enseignement du ninjutsu de nos jours

    Le ninjutsu a été très médiatisé et fortement déformé par le cinéma, dans la continuité de la vague du cinéma d'arts martiaux après la mort de Bruce Lee.
    Contrairement aux Bujutsu qui ont subi une transformation pacificatrice en Budo du XVIIIe au XXe siècle et a subi un enseignement de masse dès la fin du XIXe siècle, le « ninjutsu moderne » du cinéma est souvent un amalgame récent de differentes pratiques sportive.
    À l'heure actuelle, l'école moderne de Ninpo la plus connue et la plus médiatisée est le Bujinkan, de Masaaki Hatsumi. Masaaki Hatsumi, après avoir étudié divers arts martiaux dans sa jeunesse auprès d'Iwata Manzo, Nawa Yumio et de Toshitsugu Takamatsu qui aurait notamment été garde du corps personnel de l'empereur Po, en Chine.
    Le Ninpo moderne prône des valeurs de la patience, d'endurance, de persévérance dans les difficultés et de courage.
    Les Ninja, dont le mot nin signifie perséverance, en japonais, étaient des gens à multiples facettes mais qui n'avaient besoin d'utiliser la violence que lorsque les circonstances l'exigeaient, comme les bushi. Leur ingéniosité, mêlée d'audace, leur a valu bon nombre de légendes dont certaines (notamment l'incompréhension quant au fait que les Ninja pouvaient « voler et marcher sur l'eau ») ont généré les travers cinématographiques déjà cités : Boom ninja des années 1960 au Japon où l'on tente de créer un surhomme nippon après la défaite de la guerre du Pacifique!


    votre commentaire
  •                                Equipement spécifique

    Les ninjas utilisaient des armes et du matériel spécifiques, principalement des outils de paysans modifiés :

    • Jitte (ou Jutte) : sorte de dague non tranchante et non perforante munie d'une garde courbée vers l'avant (à la différence du sai, il n'y a qu'une branche à la garde), servant à bloquer les sabres;
    • Kaginawa: grappin;
    • Kamayari: lance à crochet ;
    • Kusarigama: faucille reliée à une chaîne;
    • Metsubushi: fumée, en général produite par un mélange de poudre placé dans un œuf évidé, et servant à aveugler l'adversaire;
    • Mizu gumo: chaussures flottantes munies de vessies gonflées et permettant de se tenir debout sur l'eau, pour espionner ou se défendre;
    • Ninjatō: sabre;
    • Otzu Tsu: arme à feu, sorte de mortier fait dans un tronc évidé;
    • Ashiko: griffes de pieds, situées sous la semelle, servant à l'escalade, à marcher sur un terrain glissant ou bien comme arme;
    • Tegaki ou shuko: sorte de griffes portées sur la paume, servant à transporter des billots sur le dos par les montagnards (et surtout pas à escalader, tout bon alpiniste fera la différence ) à frapper en combat à mains nues ou bien pour bloquer les sabres, comme le jitte;
    • Kunaï: Sorte de dard métallique.
    • Shuriken: armes de jet dont les shaken, étoiles métalliques tranchantes pouvant avoir plusieurs formes différentes (trois ou quatre branches, carrées, rondes...) et les bo-shuriken, sorte de tige de métal, effilées à une extrémité. Cependant, contrairement à ce que croit la plupart des gens, le shuriken n'est pas une arme d'attaque directe et doit être manié conjointement à l'art du sabre. Les dégâts engendrés n'étant que de l'ordre d'une coupure ou pouvant être complètement stoppés par l'armure d'un bushi si les yeux ou les points vitaux visibles n'étaient pas touchés. De plus sa trajectoire est assez aléatoire, dans les mains d'une personne qui n'était pas une experte. C'est une arme souvent empoisonnée, de terreur, plus particulièrement utilisée pour désorienter l'ennemi. Elle servait également à faire diversion pour attirer une sentinelle à l'opposé;
    • Makibishi ou tetsubishi: petits clous à quatre pointes utilisés pour couvrir une fuite ; ceux-ci traversaient les sandales des poursuivants;
    • Jō: bâton de quatre pieds et d'environ un pouce et demi de diamètre. Servant autrefois de canne, il devint une arme redoutable que même les vieillards pouvaient manier très efficacement;
    • Fukumibari: fléchettes plates cachées dans la bouche et destinées à être crachées au visage.

    Dresser ici une liste exhaustive des armes du ninpō relèverait de la gageure et, évidemment, il ne saurait être question de parler d'autre chose que des basiques et des premiers échelons de connaissance.

      
    Jitte                   Kaginawa             
    Kamayari

     
    Kusarigama                        Metsubushi          Mizu gumo

      
    Ninjatō                          Ashiko

      
    Tegaki                          Kunai                         Shuriken

     
    Makibishi                   Jo                               Fukumibari


    votre commentaire
  •                     Le ninjutsu, les techniques des ninjas

    Le terme ninjutsu ou shinobi jutsu, désigne l'ensemble des techniques des ninjas, suivant les principes du ninpō. Cela comprend des techniques de combat, et notamment l'utilisation détournée d'armes classiques, le combat à mains nues (tai jutsu), mais aussi des techniques de camouflage (hensō jutsu, doton no jutsu), d'utilisation d'explosifs, de poisons, la prestidigitation (gen jutsu), la natation, l'équitation, etc.
    Mais le ninjutsu comporte aussi des connaissances en météorologie, astrologie, médecine et mathématiques qui ne sont plus enseignées de nos jours. Ainsi, certains ninjas ont conçu des digues ou exploitaient des mines, ils étaient ce que l'on appellerait maintenant des « ingénieurs ».


    votre commentaire
  •                           Le ninpo, doctrine des ninjas

    Le terme moderne de ninpō (), ou shinobu hō, désigne à présent la doctrine des ninjas, comme le terme bujutsu est devenu celui de budō. Elle met l'accent sur l'endurance, la persévérance, la capacité d'adaptation. Ceci comprend donc bien sûr les techniques de combat et de survie dans la nature (dont le camouflage et les soins médicaux), d'endurcissement du corps et de l'esprit, mais aussi la capacité à prévoir le danger et à l'éviter. De fait, le ninja doit être capable de mimétisme, il doit pouvoir faire preuve d'adaptabilité (souplesse mentale) et ne pas s'attacher à des formes fixes et rigides.
    Contrairement au bushi, le ninja ne cherche pas l'affrontement direct, il ne cherche pas à montrer son courage, mais plutôt à survivre et à mener à bien sa mission, sans ressentir de honte ni de colère. Le ninja cherche d'abord à se protéger et à protéger sa famille. Par ailleurs, on peut aussi se référer au traité de stratégie chinois L'Art de la guerre de Sun Tzu (prononcer Souen Tseu), qui développe les techniques d'information et de désinformation dans le cadre de la guerre :

    • se renseigner sur l'ennemi : « Qui connaît l'autre et se connaît, en cent combats ne sera point défait », chap. III
    • désinformer l'ennemi
    • repérer les espions ennemis et les soudoyer.

    Une des premières phrases de ce traité de guerre est d'ailleurs « La guerre repose sur le mensonge ». Il recommande principalement de faire usage de la ruse pour éviter le combat. Ce type de comportement était donc recommandé depuis dix siècles avant la première mention historique des ninjas.
    Le ninja était furtif et secret. Il savait se déguiser pour se faire passer pour quelqu'un d'une autre classe sociale ou d'une autre région. L'enseignement de ces techniques dans des écoles (ryu) ne se faisait pas en groupe comme pour les bujutsu.


    votre commentaire
  •                        L'art du déplacement

    Nous allons commencer par l'art du déplacement, nous l'appellerons le Parkour.

    Principe:

    Le Traceur (pratiquant de Parkour) essaie de trouver un chemin passant par des endroits que personne n'emprunterait normalement. Il recherche des obstacles à franchir par des mouvements qui se veulent utiles, efficaces, rapides et simples. Les acrobaties
    ne répondent donc pas à ces qualités d'utilité et d'efficacité, mais peuvent apporter un esthétisme et un plaisir personnel.

    L'entrainement:

    Dans le parkour il y a des éléments de base. Il est important d'entraîner ces éléments. La pratique du Parkour demande une bonne condition physique afin d'avoir une meilleure résistance aux chocs. Donc en plus de leur entraînement normal beaucoup de traceurs font de la musculation
    .

    La philosophie:

    Beaucoup de traceurs considèrent le parkour non seulement comme un sport, mais aussi comme un art. Contrairement aux gens qui pratiquent un genre de sport similaire, le traceur ne veut pas impressionner quelqu’un. Intermède acrobatique ne relèvent pas du sport parcours. Un autre aspect de la philosophie est la liberté
    . On dit souvent que le parkour peut être pratiquée par n'importe qui, n'importe quand, n'importe où dans le monde.

    Les techniques:

    Il y a différentes sortes de sauts comme "le saut de chat”, le "saut de détente” ou le "saut de précision”. La roulade est un mouvement très important aussi et on doit s'entraîner de nombreuses heures. Quand on fait une roulade, on amortit sa chute en roulant au sol d'une épaule à la hanche
    du côté opposé après un saut. Le tic-tac est utile si on veut passer par un obstacle à l’aide d’un autre obstacle. Le tic-tac se fait ainsi : on court par exemple vers un mur, saute contre le mur et on utilise l’énergie pour franchir un autre objet. Le demi-tour ou également appeler retourner lâcher est le moyen le plus simple pour se retrouver accroché de l'autre côté d'une barrière ou d'un mur en un seul mouvement.

    Critiques:

    Beaucoup de gens critiquent le parkour à cause du risque de blessures, mais beaucoup de traceurs qui s'entraînent correctement ne se sont jamais blessés, il ne faut pas croire que les acrobaties qui sont effectuées ne sont pas calculées. Pour avoir de tels résultats le traceur n'hésite pas à s'entraîner des heures et des heures, à répéter
    le mouvement des centaines de fois pour ensuite l'effectuer par exemple à une plus grande hauteur etc...

                                        Voilà de futur ninja

         


    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique