•                             La pollution de l'eau avec Kisame


    Kisame (énervé): Alors ça c'est fort
    Tobi: De quoi ?
    Kisame (énervé): On tue ma famille et maintenant on dégrade mon environement
    Tobi: De quoi ?
    Kisame (énervé): Je vais t'expliquer
    Tobi: De quoi ?
    Kisame: Ces substances chimiques aujourd'hui prioritairement recherchées (on en dénombre aujourd’hui plus de 100 000 000 molécules de bases, associées en de nombreuses préparations ou mélanges) destinées à protéger les végétaux contre les insectes, les champignons ou les « mauvaises herbes » peuvent pénétrer dans le sol et s'y accumuler pour atteindre les eaux souterraines, quand ils ne sont pas directement déversés dans les cours d’eau ou les eaux superficielles. Dans l'environnement certains de ces pesticides se transforment en molécules de dégradation ou en métabolites qui sont nombreux et parfois très difficile à détecter.
    Tobi: De quoi ?
    Kisame: Continuons, en France, pour remédier à la contamination préoccupante des eaux de surface ainsi que des eaux souterraines, le Gouvernement mène une politique globale d’intervention, comprenant, outre des aspects réglementaires et fiscaux, un programme national de réduction de ces pollutions lancé en concertation avec l’ensemble des partenaires, tant professionnels qu’associatifs. Le ministère chargé de l’écologie et du développement durable porte son effort sur une meilleure connaissance de l’impact des pesticides sur les milieux aquatiques ainsi que sur le développement des solutions préventives et curatives les plus adaptées.
    Tobi: De quoi ?
    Kisame: Maintenant parlon des meilleurs information, les principales conclusions des études réalisées à partir des informations disponibles par l’Institut français de l’environnement sont les suivantes :on constate une contamination généralisée des eaux de surface et littorales par certaines substances, les eaux souterraines étant moins touchées.
    les pesticides interviennent dans près d’un quart des causes de non conformité des eaux servant à l’alimentation des populations.
    Une première étape consiste à rassembler toutes les informations disponibles pour mieux caractériser les impacts des résidus de pesticides sur les organismes aquatiques (écotoxicité).
    Tobi: De quoi ?
    Kisame: Si on passais aux solutions ?
    Tobi: De quoi ?
    Kisame (désespéré): Tu es désespérant Tobi mais on va continuer, utilisez des produits sanitaires écologiques, il en existe une gamme aussi complète que dans les supermarchés classiques. Vous les trouverez dans tous les magasins bios. Il faut aussi diminuer la pollution de l'eau faite par les usines et éviter de rejeter les déchets ménagers dans l'eau. A ce propos les industriels de l'EXERA soucieux de ce problème ont fait réaliser une étude sur des détecteurs de film d'hydrocarbure à la surface de l'eau par l'IRA afin de connaître les moyens de détection et leur fiabilité.
    Tobi: De quoi ?
    Kisame: Parlons des autres pays, la Chine: Les cours d'eau chinois subissent une pollution croissante: ainsi, depuis le milieu des années 1980, le niveau de pollution du fleuve Jaune a été multiplié par deux. Les usines polluantes des régions industrielles de l'est déversent des déchets toxiques. La pollution et la croissance du trafic fluvial ont provoqué la disparition du Dauphin de Chine (aussi appelé Dauphin du Yang Tsé). La pollution de l’eau serait à l'origine de 118 000 morts par cancer pour l'année 2004. 75 % des lacs chinois souffrent d’eutrophisation.
    L'Inde: La pollution du Gange en Inde est un cas très particulier car elle est provoquée d’une part par l’industrie, mais elle est surtout aggravée par le comportement de la population locale. D’une part, les industries en expansions rejettent dans l’eau du fleuve des quantités alarmantes de produits chimiques : comme le chrome, l’arsenic…les villes les plus polluantes sont Kanpur et Calcutta. Kanpur, par exemple, rejette 400 millions de litres d’eaux usées dans le fleuve chaque jour et n’a pas les capacités techniques pour retraiter ces eaux. D’autre part, l’agriculture intensive, qui a permis l’autonomie alimentaire du pays sous Nehru, est aujourd’hui une menace à cause des rejets de pesticides, de nitrates et d’engrais. Enfin, le fleuve étant considéré comme sacré, des millions de pèlerins boivent son eau, s’y baignent et s’y lavent, y jettent les dépouilles de leurs défunts…et ce, au mépris des risques sanitaires. La gravité de la situation environnementale appelle des mesures urgentes, mais le gouvernement est peu réactif, la priorité est donnée au développement économique et la population a du mal à se mobiliser.
    La Suisse: Comme le lac de Thoune, Le lac de Brienz est affecté par le fait que des munitions ont été volontairement immergées en eaux douces en Suisse, constitutant une source potentielle de pollution induite par les munitions. (Un lac sur deux en a reçu dans le pays, alors que les autres pays se sont plutôt débarrassés de leurs munitions anciennes ou non-explosées en mer). Les militaires y ont immergé une quantité de munitions déclassées, munitions non explosées et explosifs estimée à 500 à 600 tonnes (sur plus de 8000 tonnes estimées avoir été jetés dans les lacs suisses, souvent avec leur amorce ou détonateur qui contiennent des métaux toxiques). Il s'agit a priori surtout de bombes, grenades, obus, cartouches et de résidus d'explosifs, dont TNT.
    Ces munitions contiennent de nombreux métaux et produits toxiques dont on connait mal la cinétique dans un milieu tel qu'un lac. On ignore encore si des réactions exothermiques ou des phénomènes physicochimiques peuvent ou non contribuer à faire remonter des toxiques qu'on pensait stabilisés dans les eaux peu oxygénées et froides des profondeurs du lac. On peut aussi craindre à terme des phénomènes d'eutrophisation ou de dystrophisation si des munitions contiennent des quantités importantes de phosphates et de nitrates, bien que la plupart de ces munitions semblent encore en bon état selon les rapports officiels. Dans un article du 28 octobre 2003 du Bund, des spécialistes allemands recommandent de couvrir les munitions d’une couche de glace artificielle, qu'il faudrait alors entretenir. Une autre question est l'impact d'un éventuel mouvement du fond pouvant résulter d'un brutal et important glissement de terrain exemple illustré ou d'un tremblement de terre, deux phénomènes dont la fréquence et la probabilité pourraient augmenter suite aux conséquences des modifications climatiques et dont on a montré que la perception du risque était sous-estimée en Suisse. Il faudrait également de s'assurer qu'il n'y ait pas de munitions chimiques et mieux connaître l'hydrologie des lacs, en particulier le risque de résurgence ou de sources "chaudes" ou salines ou acides, dans leurs fonds aujourd'hui ou en cas d'aléa sismique, d'autant que l'Aar qui alimente les lacs de Brienz et de Thoune est utilisé pour refroidir deux centrales nucléaires.
    En 2004, Ursula Haller a déposé une motion au Conseil national pour demander le repêchage et l’élimination des munitions déposées au fond des lacs suisses, après qu'en 2003 déjà, Monsieur Gresch a fait la même demande au Grand conseil bernois, sans résultats (motion rejetée le 15 septembre 2004).
    Alors tu as compris Tobi ?
    Tobi: De quoi ?
    Kisame (énervé): QUE JE NE PEUX PLUS NAGER TRANQUILLE DANS UNE EAU DEGUEULASSE !!!
    Tobi: De quoi ?
    Kisame: Prenons le problème dans un autre sens, Tobi, Aime tu boire de l'eau ?
    Tobi: De quoi ?
    Kisame (énervé): TU AIME BOIRE ????
    Tobi: De quoi ?
    Kisame (énervé): SI ON FAIT RIEN ON VA TOUT CREVER DE SOIF, ON PEUT PAS BOIRE DES PRODUITS TOXIQUE
    Tobi: De quoi ?
    Kisame (énervé): AAAA, JE ME CASSE, NON MAIS C'EST QUOI UN DEBILE PAREILLE ?
    Tobi: De quoi ?
    ...
    Tobi: Kisame, de quoi ?
    ...
    Tobi: Je suis seule ?
    ...
    Tobi (les larmes aux yeux): Pauvre moi, tout seule dans se monde terrible...je vais mourir...NON, je me meurt
    ...
    Hidan: Tobi, tu fais quoi
    Tobi: CHUT, je suis mort
    Hidan: ...Ok...bon, à plus alors
    Tobi: ...
    Hidan: Yo, y a Kisame qui m'a donné ça pour vous chèrs lecteurs
    Tobi: Kisame ? De quoi ?

     La pollution de l'eau 
                               La pollution de l'eau


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